A quoi servent mes soins énergétiques ?
Lorsque j’ai par exemple une blessure affective, un sentiment d'abandon, mon chakra du cœur est fermé. Je suis triste et abattu(e). J'ai la sensation d'avoir une boule au plexus, je me sens oppressé(e) et peux parfois respirer avec difficulté. Peu à peu, je me recroqueville sur moi-même, envahi(e) par la peur de tenter de nouvelles expériences. Il se peut alors, par exemple, que mon dos commence à se voûter et à devenir douloureux.
Grâce aux soins apportés à mon être, et particulièrement aux centres énergétiques que sont mes chakras mais aussi à mes intestins et mes organes internes, de vieilles mémoires inscrites dans mon corps se libèrent progressivement et émergent à ma conscience. Il peut alors me revenir à l’esprit d’autres moments de ma vie où je me suis senti blessé(e), humilié(e). Et l'occasion m'est donnée d'alléger enfin mon fardeau. Je pleure, je crie . . . pour mon plus grand bien. Les nœuds émotionnels se libèrent, à leur rythme, permettant à l'énergie de circuler avec plus de fluidité dans mon corps. Ce processus d'ouverture et d'harmonisation rejaillit sur le fonctionnement de mes chakras, influant eux-mêmes sur le fonctionnement de mes organes vitaux et des glandes endocrines associées mais il favorise également l'éveil de ma conscience dans toutes ses dimensions.
Mon corps se détend, je ressens plus d'harmonie en moi. Toutes les émotions que j'ai libérées m'amènent à changer peu à peu mon état d’être intérieur. Je commence à nourrir de nouvelles pensées, plus lumineuses. Je m’ouvre à de nouveaux sentiments. Je prends peu à peu de la distance par rapport aux événements qui me submergeaient auparavant et me surprends même parfois à me regarder avec amour et compassion. Je me sens plus fort(e). Quelque chose a changé en moi. Progressivement, mes épaules se redressent, ma posture change. Elle laisse transparaître une certaine fierté et ma respiration est plus ample, je n’ai plus mal au dos. Serais-je prêt(e) à m'ouvrir à de nouvelles rencontres ?
Si j’avais traité uniquement mes symptômes (mon mal de dos, ma respiration bloquée), j’aurais peut-être connu un soulagement mais aurait-il été durable en gardant le même schéma de pensée ?